29/07/2014

Comment éradiquer le djihad ?

La situation est grave et les problèmes s'accentuent chaque jour.

Le terrorisme islamiste s'introduit en France, et même des français s'intègrent dans ces mouvements radicaux pour détruire un jour la République.

Les français en ont-ils conscience ? Voilà une question que je me pose à chaque instant de notre vie.

Pourtant, il existe des moyens pour éradiquer le djihad, et c'est là que François Hollande devrait concentrer toute son énergie au lieu de la disperser dans des affaires inutiles ou improductives.

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Comme je l'ai souvent précisé dans mes nombreux précédents articles sur mes sites ou sur les blogs des quotidiens, l'État doit agir avec fermeté pour éviter les drames humains pouvant provoqués par des attentats qui nous guettent à brève échéance.

Les faits invoqués

La méthode est simple : semer la panique dans les populations suite à la terreur que les islamistes radicaux projetteront partout dans les lieux publics, à savoir la rue, les gares, les aéroports, les salles de spectacles, les réunion publiques, les foires, les fêtes, lieux de culte, etc … etc …

De même, à la suite de manifestations portant sur des thèmes divers ou plutôt sur des prétextes au soulèvement et à l'émeute, la guerre civile s'installe peu à peu comme c'est le cas déjà à l'heure actuelle dans de nombreux pays d'Afrique ou d'ailleurs.

A l'issue de la guerre civile devenant de plus en plus violente, les djihadistes soutenus par des puissances arabes très puissantes, prendront vite le dessus, malgré les interventions possibles des forces publiques et de l'armée.

Nombreux sont les citoyens qui seront chassés de chez eux, à la ville comme à la campagne, et surtout à la campagne où les belligérants s'empareront des fermes, des troupeaux, et des matériels agricoles.

Bien évidemment, je ne parlerai pas des sévices et de la barbarie qui pourraient surgir de ces individus enrôlés dans les cellules djihadistes, aussi dangereux que le furent à une époque passée les nazis et la Gestapo.

Les moyens d'éradication

1.Intervention de l'État

Dans un premier temps, les pouvoirs publics doivent déployer d'énormes moyens pour débusquer les adeptes de l'Islam radical, les meneurs d'hommes français ou étrangers ainsi que tous ceux ou celles qui sont déjà connus pour des appartenances à des mouvements douteux.

Ces enquêtes seront ciblées un peu partout sur le territoire français, dans les villes certes, mais aussi dans des villages où les islamistes marquent leur préférence pour s'isoler. Sans oublier évidemment, les cités des banlieues qui sont les plus gros foyers de l'Islam radical.

2.Intervention des forces publiques et des douanes

Dans un second temps, c'est la lutte renforcée contre les trafics de drogue qui sera payante.

En fait, une grande partie de l'argent de la drogue sert au financement des djihadistes ou des futurs djihadistes ainsi qu'à toutes les opérations de formation, d'actions et de combat.

Là encore, les contrôles routiers fréquents ou la perquisition de tous les domiciles suspects, auront un impact important pour déceler les filières amenant de près ou de loin aux réseaux djihadistes.

3.Les arrestations en masse et les expulsions

Aussitôt arrêtés et confondus suite à des faits indéniables, les auteurs seront rapidement condamnés à des peines exemplaires, et si la loi le permet, ils feront l'objet d'une expulsion immédiate vers leur pays d'origine.

Ici, il faudra mettre en place de lourdes peines plancher qui seront exécutées dans des quartiers pénitenciers spéciaux et isolés.

4.Les mesures nationales de prévention

Pour soigner le mal qui ronge la Nation, c'est-à-dire la gangrène islamiste radicale, l'État devra prendre des mesures préventives :

a/ interdire formellement le financement de clubs sportifs ou d'associations les plus diverses par des soi-disant "mécènes" de pays étrangers très liés avec le djihad : en l'occurrence, je citerai par exemples, le Qatar et l'Arabie saoudite.

b/ interdire le financement de certaines entreprises françaises, basées en banlieues ou ailleurs, par ces mêmes "mécènes" .

c/ contrôler systématiquement les achats d'immeubles, de complexes hôteliers et de toutes structures importantes ayant un caractère commercial ou historique, puis donner ou refuser les accords administratifs nécessaires en fonction de certaines critères ou de certaines garanties que l'État peut exiger au cas par cas.

DJIHAD : les risques encourus

Nous ne sommes pas dans l'utopie, même si certains sont assez crédules pour ne pas s'imaginer qu'un jour le ciel peut nous tomber sur la tête.

Les dangers que nous rencontrons aujourd'hui avec l'Islam radical sont les mêmes que ceux que nos parents ou grands-parents ont connu sous l'occupation allemande où les forces nazis étaient capables des pires horreurs.

En 1940, l'Allemagne hitlérienne voulait dominer la France et la rendre esclave de son régime politique.

Aujourd'hui, cette Allemagne nazie a été remplacée par des groupes islamistes radicaux, capables eux aussi d'infliger à la France comme à d'autres pays de l'Europe ou d'ailleurs, les pires maux, et il est grand temps aujourd'hui de s'unir et de faire barrage au démon djihadiste.

Il va de notre proche avenir et de celui de toutes les générations futures.

Pierre Reynaud

Conférencier - université populaire Henri Laugier

http://www.la-revolution2014.fr/

 

 

16/07/2014

Le djihad à la conquête du monde

La démocratie est-elle menacée dans le Monde ? Va-t-elle disparaître bientôt ?

Que deviendront alors les États-Unis, l'Europe ou la France ?

Notre République vit-elle ses derniers jours ?

Autant de questions qui doivent nous faire réfléchir et nous engager dans une mobilisation générale afin de sauver nos libertés et notre indépendance.

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Marseille quartiers Nord, un jour comme les autres, dans une cité de banlieue où la loi de la République est devenue inexistante, la police n'ayant plus la capacité d'y exercer un simple droit de regard. Ici, l'existence est très difficile : d'un côté, une population meurtrie et terrorisée par des gangs de voyous qui contrôlent les accès, les immeubles, les parkings ; de l'autre, quelques caïds, violents et pervers qui se déplacent dans de grosses cylindrées aux vitres teintées. Ces derniers sont les chefs de bande qui commandent et dirigent les « surveillants » précités, transformant les lieux investis en ghettos imprenables.

Bien évidemment, ce monde mafieux est à la base d'une immense économie souterraine fort juteuse où le trafic des stupéfiants est au cœur des activités.

Si la drogue est l'un des moyens illégaux pour s'enrichir rapidement, elle sert surtout à financer des causes secrètes, comme les mouvements islamistes radicaux. Et c'est là qu'apparaît le terrorisme international, celui qui anéantira un jour les nations au profit de fanatiques voulant transformer notre société moderne en une société moyenâgeuse.

Comme tant d'autres grandes villes, Marseille est gangrenée par l'islam radical, un très lourd danger qui monte en puissance et qui devient à l'heure actuelle extrêmement inquiétant.

En ce qui concerne la cité phocéenne que je connais bien depuis longtemps, j'ai la certitude que plusieurs cités sont contaminées par certains djihadistes et quelques imams qui prônent la charia certes, mais en particulier une haine non déguisée envers la France. Ainsi, au cours de petits rassemblements organisés par des « grands frères » (musulmans), à l'intérieur même des cités, le drapeau tricolore est brûlé (plus souvent qu'on ne le dit) et remplacé par le drapeau algérien sous les acclamations du public présent.

Mais pour des raisons difficiles à cerner, mais essentiellement politiques, les pouvoirs publics ont toujours voulu éviter les affrontements, et c'est ainsi que la plupart des cités représente depuis longtemps un véritable état de droit en marge des règles républicaines.

Dernièrement, l'abominable tuerie du Musée juif de Bruxelles est un exemple qui devrait faire nous faire réfléchir longuement sur ce qui peut arriver prochainement au cœur même de notre société. Le principal suspect Mehdi Nemmouche a été arrêté le 24 mai à Marseille au moment où il descendait d'un autocar en provenance d'Amsterdam. Ses principales liaisons semblent bien se situer dans les banlieues nord de la ville où l'intégrisme se développe largement depuis quelques années maintenant.

Il est clair que cet homme converti à l'islam radical, est aujourd'hui un djihadiste déterminé. Et le véritable problème vient du fait qu'il n'est pas un cas isolé. Les groupuscules terroristes qui étaient jusqu'alors de « petits combattants » dangereux certes, mais encore relativement maîtrisables, deviennent aujourd'hui de véritables armées dont l'entraînement se situe en particulier en Syrie et en Irak. Une sorte d'antichambre de la violence et du crime qui permettra bientôt d'envahir peu à peu les pays de l'Europe dont la France notamment.

Alors, bien évidemment, devant ce terrible danger qui nous menace tous, les États mis en péril commencent à prendre certaines dispositions et conduisent désormais des enquêtes approfondies et fructueuses aboutissant sur des arrestations. Mais en fait, cette riposte arrive aujourd'hui un peu tard. L'islam radical s'est développé et se développe toujours à une allure extrêmement rapide et entraîne désormais dans ses crimes de nombreux jeunes qui ne sont même plus issus de familles musulmanes. Ainsi, une bonne partie provient de milieux les plus divers de la société, et plus souvent qu'on pourrait le croire, leurs parents sont de religion catholique ou juive.

A titre personnel, pour avoir observé pendant plus de quinze ans l'évolution des banlieues marseillaises qui ressemble nettement à celles des autres grandes villes françaises, j'ai la conviction que le progrès du fanatisme islamique atteint aujourd'hui un niveau fortement inquiétant, et l'on peut s'attendre à un embrasement général qui démarrera évidemment à l'intérieur des cités.

Bien entendu, certains lecteurs ou lectrices penseront que mes idées relèvent plus de la science-fiction que de la réalité. Mais la vérité est bien présente avec la certitude que le désastre peut nous attendre au coin de la rue.

Alors, revient toujours la même question : Que pouvons-nous faire ? Rien ou pas grand chose me répondrez-vous ! Et vous avez raison !

Sauf que nous pouvons aussi avertir les autorités de police lorsque nous avons des doutes réels ou des certitudes sur les agissements visibles de certains individus dans nos villes ou nos quartiers. Il ne faut pas y voir ici un acte de délation, mais plutôt un action civique qui pourra sauver de nombreuses vies humaines.

Sachons que la défense de la Nation et de son indépendance ainsi que la protection de nos libertés passe par obligatoirement par le devoir citoyen qui s'inscrit dans la vigilance, le courage et le patriotisme.

Pierre Reynaud

http://www.la-revolution2014.fr/

 

15/10/2012

Crimes et châtiments

 

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Au nom d'un certain Islam, la violence perpétrée contre les juifs relève d'une réalité sinistre. Et de ces faits lamentables, nous ne nous pouvons éviter de penser aux horreurs commises par l'Etat de Vichy au cours des douloureuses périodes de la France entre 1940 et 1944. Partout sur notre territoire, ces agressions et sauvageries se multiplient et bientôt, si le gouvernement n'agit pas avec fermeté, c'est toute la population de notre Pays qui deviendra la cible des cellules terroristes en présence.

Il est donc extrêmement urgent de prendre des mesures draconiennes contre ces individus dont les agissements sont absolument intolérables, aucune excuse ne pouvant être invoquée à quelque titre que ce soit.

Contrairement à certains événements relevés dans le passé, le terrorisme ne vient plus de l'étranger, mais de l'intérieur même de la Nation où des citoyens de nationalité française agissent contre la République et la démocratie.

Alors qui sont « ces français » qui en veulent tant à la France, à l'occident en général, et en particulier à la communauté juive ? Quand on examine les individus qui composent ces groupes terroristes, on constate tout de suite qu'ils sont issus en général de l'immigration, et qu'ils ont acquis par la suite la nationalité française. Leurs méfaits, leur attaques, et leurs crimes commis au nom de l'Islam portent évidemment un fort préjudice à l'ensemble des musulmans, du reste souvent montrés du doigt par des populations devenues xénophobes.

Il est évident qu'en la matière, la législation s'avère complexe. Pour les personnes ayant obtenu la nationalité française au cours de leur existence, donc de fraîche date, la loi devrait prévoir une condition suspensive de cette même nationalité pendant une période dite « d'essai » pendant laquelle son bénéficiaire pourrait voir son annulation dans des situations graves où les règles fondamentales de la république n'auraient pas été respectées. En évidence, cette annulation de la nationalité française ne pourrait se réaliser qu'après un procès pénal suivi d'une décision d'Etat assortie d'un recours administratif possible, en cas de contestation.

A côté du cas ci-dessus considéré par la loi comme une naturalisation, la situation la plus courante se situe dans la personne qui est française du simple fait de conditions de sa naissance. Ici, il est impossible de prévoir une suspension ou une annulation de la nationalité française pour l'individu qui présente un comportement relevant de l'indignité nationale. Et pourtant, une sanction autre que la condamnation pénale devient maintenant indispensable.

En résumé, deux cas précis sont en présences :

1. Citoyens ayant acquis la nationalité française par attribution ou naturalisation.

En cas de graves faits reconnus contre l'Etat et de crimes qualifiés d'actes terroristes, ces personnes seront passibles d'un retrait provisoire ou définitif de la nationalité avec la possibilité d'être reconduits dans leur pays d'origine.

2. Citoyens titulaires de la nationalité française par la naissance.

Dans un cas de faits graves similaires à ceux évoqués ci-dessus et reconnus par la justice, ces personnes perdront tous leurs droits civiques et les avantages qui s'y rattachent. Par exemple le droit de vote et d'éligibilité aux élections locales et nationales, la possibilité d'accéder à certaines aides et assistances, de percevoir diverses allocations, de bénéficier d'une pension ou de toutes autres indemnités pensions, etc… etc …

 

Nature des faits pouvant entraîner la perte de nationalité française ou des droits civiques.

Comme indiqué ci-dessus, les faits invoqués doivent être très graves : atteintes violentes à la sûreté de l'Etat et la République ; crimes terroristes envers les populations sous formes d'attentats ou de simples agressions isolées ; crimes contre certaines catégories d'agents de l'administration publique : policiers, gendarmes, militaires, douaniers, enseignants et éducateurs, tous, représentant les valeurs et l'autorité du pouvoir démocratique.

Voilà donc des mesures que tout gouvernement devrait prendre afin de rétablir rapidement la stabilité de la République, aujourd'hui bien mise à mal dans le contexte actuel.

Fomenter un complot contre la France et contre son peuple, commettre des crimes envers des civils ou des militaires, accomplir des actions relevant du terrorisme ou des attentats, sont des faits extrêmement graves qui exigent des peines très fortes, sans aucune circonstance atténuante.

De tels crimes doivent être suivis des châtiments qui s'imposent, et ces châtiments doivent être exemplaires.

Pierre-Alain Reynaud

Site internet : www.pierre-alain-reynaud.com

Mail : cafe.republicain@gmail.com