12/02/2015

Quand l'Islam radical s'implantera dans les villages

Jusqu'à ces derniers temps, l'Islam radical était plutôt un problème touchant les banlieues ou les grandes cités d'agglomération. En fait, les campagnes vivaient d'une manière paisible, peu troublées par la délinquance et encore moins par le terrorisme. D'où ce bonheur souvent envié par les citadins qui voient encore dans l'environnement des villages, une vie tranquille, bien éloignée du stress et des dangers de la ville.

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Ce bien-être et cette quiétude vont-t-ils disparaître bientôt du monde rural ?

Dans la réalité, la situation d'aujourd'hui ne va pas dans le bon sens. Et les campagnes ne ressemblent plus guère à celles d'autrefois. Si les vols et les agressions se sont développés au cours des cinq dernières années dans les endroits les plus reculés de la France profonde, un autre problème surgit depuis quelques mois au fin fond de nos provinces : c'est l'arrivée (fort discrète) de certaines personnes d'origine étrangère, mais très souvent de nationalité française qui vont laisser apparaître, à un moment donné, leur appartenance à des mouvements islamistes aux teintes clairement radicales.

Bien évidemment, qui dit  « intégrisme » ou « fondamentalisme », n'est pas systématiquement synonyme de terrorisme. Dans toutes les religions, il existe des mouvements d'orientation vers des principes originels d'une doctrine, chers à des conservateurs qui ne souhaitent aucune évolution dans les rituels et dans les dogmes. Et si l'intégrisme fut à une époque un véritable fléau pour la société, les temps modernes ont éloigné ces querelles et ces discordes, les églises ayant su prendre leurs responsabilités et surtout, faire preuve de compréhension et de tolérance.

Ainsi, alors que le calme semblait être bien ancré chez les fidèles de toutes les religions, l'Islam a réveillé certaines consciences qui veulent désormais en découdre avec un monde réputé perverti, corrompu et dépravé. Dans la réalité, ces « purificateurs » d'une société qu'ils considèrent comme en perdition, avancent des idées épuratrices ; jusqu'ici, on ne peut pas trop les blâmer, dans la mesure où leurs prêches s'arrêtent à une simple moralisation de leurs peuples. Mais où l'affaire devient grave, c'est au moment où ces mêmes « purificateurs » passent aux actes criminels pour éliminer carrément ceux qu'ils désignent comme « la vermine du monde ». A cet instant, on tombe immédiatement dans le terrorisme, donc, dans l'horreur.

En France, les attentats des 7 et 9 janvier sont les préliminaires d'une violence qui va progresser de semaine en semaine, de mois en mois et d'année en année. Une violence qui va transformer le Pays, comme tant d'autres sur la planète, en un véritable champ de bataille.

Il ne faut donc pas se voiler la face. Le danger est bien présent et la machine infernale avance chaque jour un peu plus.

Pendant longtemps, on a cru que le terrorisme était un péril citadin qui ne pouvait s'exercer que dans les grandes villes ou dans les banlieues. En fait, aujourd'hui, il atteint les campagnes, la plupart du temps dans certains départements plutôt reculés où se cachent des cellules de mission et d'entraînement qui forment divers réseaux tous relayés par internet.

Que va-t-il donc ce passer ?

Au départ, le djihad installe la terreur dans les endroits les plus sensibles, provoquant des frappes « chirurgicales » comme ce fut le cas pour Charlie Hebdo ou pour l'hypermarché Casher. Par la suite, ces frappes vont se manifester par périodes espacées, mais par opérations groupées, pareillement aux attentats des 7 et 9 janvier derniers. A la différence des crimes passés, les prochains attaques seront plus nombreuses et se produiront dans de petites villes ou peut-être même dans des villages. Les cibles pourront être des supermarchés de petits commerces de proximité, des écoles, des salles de cinéma ou de spectacles, ou tout simplement la rue ou la place publique.

Que recherchent ces djihadistes ?

Dans les faits, il est encore difficile de connaître les véritables raisons qui motivent les terroristes. Si l'on considère généralement que cette forme de terrorisme est étroitement liée à la religion, d'autres motifs peuvent être retenus :

- l'implantation d'un pouvoir islamiste qui cherche à révolutionner un pays et à changer en profondeur les valeurs de la société,

- la destruction de la république laïque et de la démocratie,

- la confiscation de la propriété privée, l'accaparement des biens et des valeurs mobilières appartenant aux citoyens,

- la monopolisation des richesses de la Nation.

Voilà ce que l'on peut s'attendre dans un avenir plus ou moins proche, mais qui fait partie aujoud'hui du destin de la France comme de celui d'autres pays de l'Europe.

La conquête du vieux continent européen est amorcée. Et quand l'Islam radical l'aura envahie avec une mainmise sur les principales villes, il lui sera facile d'envahir les villages et les campagnes puis, dans le pire des cas, de nous chasser de nos terres, en toute éventualité.

Depuis longtemps, je parle de ces graves dangers qui pèsent au-dessus de nos têtes. J'avais déjà largement amorcé ces problèmes en 2010. A l'époque, certains considéraient que je sombrais dans l'exagération, pour ne pas dire la paranoïa. Hélas, les événements ont fait que j'avais raison, et je suis toujours surpris du laxisme français qui évite de voir la vérité en face, alors qu'il faudrait résister efficacement.

D'ailleurs, il suffit de voir comment une majorité de citoyens français a réagi lors des attentats de janvier pour comprendre qu'il existe vraiment une véritable incompréhension de la situation : avec le soutien inconditionnel des médias, François Hollande et son gouvernement se sont affichés commes les véritables sauveurs de la France. Dans les faits réels, le Président de la République n'a fait que son devoir, avec dignité et un certain courage certes, mais je le répète, que son devoir le plus élémentaire lié simplement à son rôle de Chef de l'Etat. S'il n'avait pas rempli cette obligation, il n'aurait pas été à la hauteur de ses fonctions ?

Pourtant, les Français ont trouvé à cette occasion, un François Hollande sublime, un véritable « chef de guerre » comme l'a dit et répété si bien et, à plusieurs reprises, des journalistes de France Télévisions. Ce qui a permis par ailleurs, à François Hollande, de voir sa côte de popularité grimper dans les sondages d'une manière spectaculaire, alors que, paradoxalement, l'économie dérape de plus en plus et que le chômage continue à augmenter.

Mais revenons aux problèmes djihadistes. Ils sont bien présents et il sera extrêmement difficile d'éradiquer ce terrorisme croissant qui n'a jamais pu être maîtrisé par les Etats de la planète. D'autant plus que les groupes terroristes sont financés indirectement par certains pays arabes avec lesquels la France comme d'autres nations, devrait suspendre ou supprimer du reste, toutes relations politiques et financières.

Les Français doivent-ils prendre en main la sécurité de la Nation ?

Bien qu'il aient été indispensables pour réunir les citoyens autour des valeurs républicaines, les rassemblements du 11 janvier ne suffiront pas pour endiguer le terrorisme.

Aujourd'hui, tous nos concitoyens doivent comprendre que les mesures proposées ou devant être prises par le gouvernement en matière de sécurité, ne sont que du saupoudrage dont les effets risquent d'être négatifs.

Aussi, les Français doivent demander auprès de leurs députés par le biais de courriers ou plutôt de pétitions nationales, la mise en place de dispositions spéciales afin de se préserver immédiatement de toutes formes de terrorisme. Ces dispositions portent sur les points suivants :

- création de comités de salut public ou de surêté générale dans les départements considérés comme secteurs à risque. Ces comités sont chargés de faire face aux dangers qui menacent la République ; ils dirigent également les principales opérations en matière de police et de justice.

- création de cellules locales chargées d'assister les forces de l'ordre, police et gendarmerie, afin de les aider dans leurs recherches et dans leurs investigations.

- diffusion publique (internet et autres moyens de communication) des photos d'individus fichés par les services de police et soupçonnés d'avoir un lien direct ou indirect avec le terrorisme.

- vote d'une loi accordant la nationalité française sous condition suspensive : en fait, un étranger pourra l'obtenir dans les mêmes conditions d'aujourd'hui, mais la nationalité ne sera définitive et acquise qu'après vingt années de bonne conduite citoyenne, exemptes de toutes condamnations ne dépassant pas trois mois de prison ferme. Dans le cas contraire, la nationalité pourra être retirée à la personne contrevenante sur avis des autorités compétentes.

- rétablissement spécialement pour les terroristes des peines de travaux forcés à perpétuité, beaucoup plus efficaces à mon sens, que la peine de mort.

- mise sous séquestre des biens meubles et immeubles des personnes poursuivies pour faits de terrorisme, et saisie de ces mêmes biens en cas de condamnations graves établies par la Justice.

En évidence, cette liste n'est pas exhaustive. D'autres mesures pourraient être prises aussi, en fonction des événements pouvant émerger de situations nouvelles.

N'oublions jamais !...

Oui, n'oublions jamais ce qu'ont vécu nos parents, nos grands-parents et plus généralement nos aînés, lors la Seconde Guerre Mondiale.

J'imagine facilement que personne n'ignore Hitler, le nazisme, la Schutzstaffel (SS), la Gestapo, la Milice française, etc … etc …, avec évidemment le massacre de millions de juifs, enfin un effroyable drame national et international.

Ce même phénomène peut se reproduire aujourd'hui, non plus avec les acteurs d'un nazisme devenu inoffensif, bien que toujours existant, mais avec le djihadisme plus présent que jamais qui parvient à manipuler désormais de plus en plus de musulmans en leur promettant notamment, un meilleur avenir dans les pays en conquête, dont la France en particulier.

Réveillons-nous !

Soyons responsables, soyons conscients de l'extrême gravité de la situation. Nous ne sommes pas dans la science-fiction ; nous ne sommes pas dans un film irréaliste ; nous ne sommes pas dans les vidéos de violence et d'horreur.

NOUS SOMMES DANS LA RÉALITÉ QUOTIDIENNE où le monde peut exploser à tout moment dans un terrible massacres d'hommes, de femmes, d'enfants, tous innocents, mais se trouvant hélas, à un mauvais endroit et à une mauvaise heure. Enfin, le destin !

Pour autant, nous ne devons pas sombrer dans la peur et dans la psychose. Nos angoisses ne servent à rien, sauf à nous faire du mal et à traumatiser nos familles et nos amis.

Alors, restons vigilants et déterminés. Comportons-nous en véritables citoyens responsables de notre présent et de notre futur. Ne laissons plus à ceux qui nous gouvernent le soin de décider seuls de notre existence et de notre avenir. Participons directement à notre destinée, et c'est ainsi que nous pourrons alors éviter le pire.

Pierre Reynaud

Co-fondateur et membre du COLLECTIF VOLTAIRE

08/11/2014

La destitution du président de la République : un acte possible aujourd'hui ?

Nouveau dans la démocratie et cependant, le sujet reste assez discret : la destitution du président de la République. Le Sénat vient de voter le projet de loi visant à mettre en place le processus de destitution du président en cas de « manquements graves ».

Pourtant, ce texte n'est en lui-même pas très récent, puisqu'il avait été voté déjà par l'Assemblée nationale en 2012 ...

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Effectivement, les sénateurs ont adopté d'une manière définitive le texte de loi qui prévoit la destitution possible du chef de l'État par le Parlement (Assemblée nationale et Sénat) réuni en Haute Cour, en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat ». Il faut noter ici que le projet de loi remontant à la réforme constitutionnelle de 2007 n'avait pas été encore mis en place ; cependant, en janvier 2012, sous le mandat du président Sarkozy, l'Assemblée nationale de l'époque l'avait adopté dans les mêmes termes, à une confortable majorité.

Pareillement, le projet de loi en question vient d'être voté au Sénat avec 324 voix pour et seulement 18 voix contre, ces dernières représentées par les 18 sénateurs communistes qui désapprouvent à l'unanimité une condamnation du président de la République pour des actes liés à sa fonction. Avant sa promulgation, ce projet de loi sera examiné par le Conseil constitutionnel qui appréciera sur le bien fondé des textes qui s'y réfèrent.

Dans la réalité, que permettra cette loi ? Si le président est accusé de « manquement à ses devoirs » visiblement « incompatible avec l'exercice de son mandat », il pourra faire l'objet de poursuites entraînant une procédure de destitution. Pour cela, il faudra que l'une des deux chambres du Parlement adopte à la majorité des deux tiers une proposition de réunion de la Haute Cour. Et si cette proposition est réalisée, elle sera alors communiquée à l'autre chambre qui devra alors, très rapidement, la mettre à l'ordre du jour.

A ce moment-là, il existe deux possibilités : la première, c'est le rejet de la proposition avec évidemment, la fin de la procédure. La seconde, c'est la validation de la proposition par les deux chambres. Dans cette dernière condition, la Haute Cour peut se réunir ; les députés et sénateurs sont alors représentés par une commission présidée par le président de l'Assemblée nationale.

Quant au président de la république mis en cause, il pourra lui-même être présent ou se faire représenter dans le cadre d'une audition ; sachant qu'il bénéficie d'un droit de participation aux débats conduits par la Haute Cour.

A la fin de toutes les discussions qui auront animé l'enquête, cette même Haute Cour disposera d'un mois pour décider du bien fondé de la proposition, soit en prononçant la destitution du chef de l'État, soit en clôturant le dossier sans suite. A noter, à titre de précision, que la commission doit approuver par un vote à bulletins secrets, la destitution du président de la République, et ce, à une majorité des deux tiers.

Suite à cette nouvelle disposition de la loi portant à modifier le statut pénal du chef de l'État, nous ne pouvons qu'approuver cette mesure en tant que citoyens responsables : pouvoir condamner le président de la République et le destituer, s'il est coupable d'un « manquement à ses devoirs », c'est une bonne résolution dans le cadre d'une démocratie exemplaire.

Mais, dans les faits réels, les choses seront bien autrement. En fait, c'est une loi de plus qui vient « embourber » les institutions, et chaque politique sait pertinemment, que cette loi ne servira jamais.

Nos députés et nos sénateurs, de droite ou de gauche, appliquent volontiers l'art de la démagogie. A dire vrai, ils « enfument » le peuple, histoire de lui faire plaisir et surtout, pour éviter qu'un jour ou l'autre, il se soulève. Le citoyen lambda qui croule sous les impôts, qui est contraint de payer l'amende d'un stationnement dépassé, qui vit sous l'empire de l'injustice, est presque heureux quand il pense que le plus important personnage de l'État peut être poursuivi, lui aussi, comme n'importe qui, c'est-à-dire comme le dernier des « sans-grades ».

Mais au final, tout ce beau monde de la politique se protège largement de toutes les menaces de la Justice, avec de tels remparts qu'ils sont quasiment « INTOUCHABLES ».

Ainsi, toutes les affaires qui touchent l'UMP comme le Parti socialiste, verront-elles un jour les condamnations des principaux protagonistes ? Pour ma part, je ne le pense. Peut-être seulement quelques boucs émissaires écoperont de quelques peines de prison avec sursis (n'oublions surtout pas le mot sursis) ou de quelques amendes qu'ils ne paieront pas.

Alors, ne rêvons pas ! Dans le système républicain que nous vivons, il n'y aura aucun changement dans la justice touchant la classe politique. Tout est factice et restera factice.

D'un côté, le citoyen sera toujours sanctionné quand il commettra la moindre faute. De l'autre, le politique sera toujours blanchi, même s'il participe à des escroqueries de haut niveau.

Hélas, c'est le triste constat de notre Cinquième République, une république qui n'a plus rien à voir avec la démocratie. En fait, c'est une république qui pourrit de l'intérieur…

Seule, la révolution pourrait être capable d'assainir une nation où la corruption domine désormais en tous lieux. Mais personne ne souhaite la révolution et c'est pour cette raison que la France continue sa lente descente aux enfers.

Pierre Reynaud

Essayiste-historien – Auteur de Révoltez-vous !

www.pierre-alain-reynaud.com

www.la-revolution2014.fr

30/10/2014

La France va-t-elle s'effondrer ? le mauvais présage des Etats-Unis

Nous l'avons constaté à maintes reprises : l'Allemagne ne nous aime guère et ne nous veut pas grand bien. Mais qui aurait pu le croire des États-Unis ?

Ces jours derniers, le journal Les Échos vient de publier un article qui, s'il n'est pas du tout sympathique pour la France, est particulièrement inquiétant. L'une des grandes « stars » du Wall Street, Davis Einhorm vient de conseiller ce lundi de « parier sur les banques grecques et contre la France ».

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Incroyable, mais vrai. Le PDG de Greenlight Capital qui n'est pas n'importe qui et à qui l'on doit notamment l'anticipation de la faillite de Lehman Brothers, dit les choses carrément. Ainsi, il dresse un tableau très angoissant de la situation de la France en déclarant : "les marchés obligataires considèrent la France comme l'Allemagne, alors qu'elle ressemblebien davantage à la Grèce". (…) "La Grèce a bu la potion amère, elle a restructuré ses obligations et son économie. Elle a cessé de vivre au-dessus de ses moyens. La France, elle, semble trop fière pour se réformer."

Ce qui est grave, c'est la réalité de la situation. En effet, Davis Einhorm ne bluffe pas. Et il arrive bien à démontrer, chiffres à l'appui, que la charge payée par la Grèce est maintenant inférieure à celle de la France.

Alors, que penser de tout cela ? Nous savons que la dette sur 10 ans ne négocie à 1,3 % en France et à 9 % en Grèce. Selon ses analyses, Davis Einhorm déclare en conclusion : "si les marchés révisent le risque souverain français à sa juste valeur, le service de la dette française va devenir insupportable. C'est pourquoi nous recommandons de vendre (à découvert) la dette française." En parallèle et inversement, il recommande d'acheter certaines obligations de banques grecques …

Pour terminer, le grand financier confie : "les investisseurs s'inquiètent tous de la Grèce, mais ils devraient s'inquiéter davantage de la France. Le rendement des obligations françaises, tel qu'on le connaît aujourd'hui, ne devrait pas exister."

La France va-t-elle donc s'effondrer ? Ne soyons pas trop pessimistes ni fatalistes, bien que les pays étrangers, pour la plupart d'entre eux, prédisent un mauvais sort pour notre Pays.

Nous pouvons encore nous relever, à condition que la Nation change d'état d'esprit. Ne crions plus que nous sommes les meilleurs alors que nous restons à la traîne de l'économie. Soyons modestes et faisons notre mea culpa pour nos erreurs et surtout pour notre laxisme.

Il semble que le président Hollande ne l'ait pas compris encore. Pourtant, il devrait savoir que la France ne se relèvera pas d'un coup de baguette magique ou par un fait de hasard.

Les grandes réformes sont nécessaires et parmi les socialistes du gouvernement, seul Emmanuel Macron semble l'avoir saisi. Ces réformes vont obligatoirement dans le sens de l'austérité. Et bien que l'on veuille repousser ce sacrifice, il faudra bien un jour ou l'autre admettre la rigueur si nous voulons préparer l'avenir de la Nation et forger le bonheur des jeunes générations.

Pierre Reynaud

Essayiste-historien - Auteur de Révoltez-vous !

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